lundi 28 août 2017

Une braise sous la cendre

Une braise sous la cendre

de Sabaa Tahir / PKJ / 523 pages

Quatrième de couverture :

Je vais te dire ce que je dis à chaque esclave qui arrive à Blackcliff : la Résistance a tenté de pénétrer dans l’école un nombre incalculable de fois. Si tu travailles pour elle, si tu contactes ses membres, et même si tu y songes, je le saurai et je t’écraserai."

Autrefois l’Empire était partagé entre les Érudits, cultivés, gardiens du savoir, et les Martiaux, armée redoutable, brutale, dévouée à l’empereur. Mais les soldats ont pris le dessus, et désormais quiconque est surpris en train de lire ou d’écrire s’expose aux pires châtiments. Dans ce monde sans merci, Laia, une esclave, et Elias, un soldat d’élite, vont tout tenter pour retrouver la liberté… et sauver ceux qu’ils aiment.

Ce que j'en ai pensé :

Je devais lire depuis un moment déjà Une braise sous la cendre en VO (An Ember in the Ashes) par le biais de Netgalley. Mais la version que j'ai reçu était loin d'être complète. Il y avait seulement le tout début de l'intrigue. J'ai donc du continuer ma lecture en français.

Une braise sous la cendre est un roman qui a fait beaucoup parlé de lui sur la blogo. J'avais flashé sur sa belle couverture, sans vraiment trop savoir si l'intrigue allait ou non me plaire. Durant la lecture, j'ai eu le plaisir de découvrir que cette histoire me convenait bien. Le côté fantasy, dont je ne suis habituellement pas trop fan ne m'a pas du tout dérangé. L'univers est propre à l'histoire sans toutefois que je le trouve extrêmement original car les ficelles du roman YA classique sont bien visibles.

Dans ce roman, nous suivons deux personnages dont les points de vue s'alternent. Laia, qui devient esclave et Elias, un soldat de l'empire. J'ai autant aimé l'un que l'autre !

La lecture est rapide et quasiment additive ! On se laisse prendre au jeu et on a toujours envie de lire "encore un chapitre". Malgré tout, j'ai trouvé que l'intrigue était un peu trop rapidement déroulée (mais cela a au moins le mérite de ne pas barber le lecteur). Je lirai le second tome avec plaisir, je ne peux pas en rester là !

Concernant la VO, je ne peux pas réellement vous donner mon avis là dessus. D'après ce que j'ai pu voir des premières pages, l'intrigue globale n'est pas vraiment difficile à comprendre. Pour la compréhension en profondeur, certains termes changent un peu de ce que j'ai déjà pu lire. Ce n'est pas le YA le plus facile à lire mais il ne me semble pas insurmontable.

Coup de coeur - Passionnant- Très bon - Agréable - Sans plus - Laborieux - Vraiment horrible

Avez-vous commencé cette saga ?

jeudi 24 août 2017

L'extase totale

L'extase totale

de Norman Ohler / Editions de la Découverte / 250 pages

Quatrième de couverture :

La drogue est la continuation de la politique par d'autres moyens : telle est sans doute l'une des leçons les plus méconnues du IIIe Reich... Découverte au milieu des années 1930 et commercialisée sous le nom de pervitine, la méthamphétamine s'est bientôt imposée à toute la société allemande. Des étudiants aux ouvriers, des intellectuels aux dirigeants politiques et aux femmes au foyer, les petites pilules ont rapidement fait partie du quotidien, pour le plus grand bénéfice du régime : tout allait plus vite, on travaillait mieux, l'enthousiasme était de retour, un nouvel élan s'emparait de l'Allemagne. 
Quand la guerre a éclaté, trente-cinq millions de doses de pervitine ont été commandées pour la Wehrmacht : le Blitzkrieg fut littéralement une guerre du " speed ". Mais, si la drogue peut expliquer les premières victoires allemandes, elle a aussi accompagné les désastres militaires. La témérité de Rommel, l'aveuglement d'un Göring morphinomane et surtout l'entêtement de l'état-major sur le front de l'Est ont des causes moins idéologiques que chimiques. 
Se fondant sur des documents inédits, Norman Ohler explore cette intoxication aux conséquences mondiales. Il met notamment en lumière la relation de dépendance réciproque qui a lié le Dr Morell à son fameux " Patient A ", Adolf Hitler, qu'il a artificiellement maintenu dans ses rêves de grandeur par des injections quotidiennes de stéroïdes, d'opiacés et de cocaïne. Mais, au-delà de cette histoire, c'est toute celle du IIIe Reich que Ohler invite à relire à la lumière de ses découvertes.

Ce que j'en ai pensé :

Merci à Netgalley et à la maison d'édition pour ce partenariat.

L'extase totale m'a tout de suite attiré par son contexte : la seconde guerre mondiale et par son thème : la drogue, dont j'ai assez peu entendu parler dans mes lectures.

Ce roman n'est pas un roman totalement historique ni totalement imaginaire. C'est un peu un mix des deux. Norman Ohler nous raconte l'Histoire à la manière d'un conteur. Ce qui pourrait être un sujet lourd et rébarbatif ne l'est pas grâce à un style d'écriture captivant.

Le thème de la drogue est abordé selon le point de vue de l'Allemagne toute entière : la population allemande, les soldats, les dirigeants et bien sûr, Hitler. Une vision globale nous est donc offerte dans ce livre.

La recherche de véracité est bien présente. Sans toutefois que l'auteur pousse le lecteur à croire absolument en sa vérité, celle qu'il a essayé d'extirper à travers toutes ses recherches. Car oui, cela est clair lors de la lecture que l'auteur a fait un véritable travail d'analyse, de questionnement, d'apprentissage sur la drogue, le contexte de l'époque et ses protagonistes. J'ai aimé cette écriture organisée et presque scientifique (contenant toutefois une écriture "littéraire" agréable). J'ai aimé ressentir la recherche à travers les mots. Le côté scientifique est d'autant plus honorable qu'il est facilement accessible pour tout lecteur.

Concernant les protagonistes de l'époque, j'ai apprécié découvrir Hitler sous un autre angle. On le découvre sous un prisme différent, sans tout cet attirail propre au culte du chef. J'ai aimé découvrir certaines de ses faiblesses. Mais plus que tout, j'ai adoré découvrir le docteur Morell, qui deviendra le médecin personnel d'Hitler. Je ne le connaissais pas avant la lecture de cet ouvrage et j'en ai appris beaucoup. L'auteur a réussi à nous faire vraiment rentrer dans le personnage, comprendre sa psychologie grâce notamment à l'analyse de tous les carnets de ce fameux docteur.

Cette lecture m'a permis de découvrir une autre face de la seconde guerre mondiale. Racontée de manière simple, courte et prenante, on découvre combien certains petits changements peuvent avoir de terribles impacts. Je le conseille à tous ceux qui sont intéressés par cette période de l'Histoire.

Coup de coeur - Passionnant- Très bon - Agréable - Sans plus - Laborieux - Vraiment horrible

Des livres sur la seconde guerre mondiale à me conseiller ?

lundi 21 août 2017

Everything everything

Everything everything

de Nicola Yoon / Editions Corgi / 310 pages

Quatrième de couverture :

Ma maladie est aussi rare que célèbre, mais vous la connaissez sans doute sous le nom de « maladie de l’enfant-bulle ». En gros, je suis allergique au monde. Je viens d’avoir dix-huit ans, et je n’ai jamais mis un pied dehors. Un jour, un camion de déménagement arrive. Je regarde par la fenêtre et je le vois. Le fils des nouveaux voisins est grand, mince et habillé tout en noir. Il remarque que je l’observe, et nos yeux se croisent pour la première fois. Dans la vie, on ne peut pas tout prévoir, mais on peut prévoir certaines choses. Par exemple, je vais certainement tomber amoureuse de lui. Et ce sera certainement un désastre.



Ce que j'en ai pensé :

Les points positifs :
ça parle d'une maladie un peu moins connu : le DICS
 la surprise du dénouement

Les points négatifs :
un retournement un peu improbable 

Pour conclure : On ne va pas se mentir, j'ai lu Everything everything parce que j'ai vu que plein d'autres été en train de le faire et aussi parce qu'un film - dont il ne faut pas regarder la bande annonce ! - allait sortir. Je ne savais même pas vraiment quelle était l'intrigue et j'ai eu le plaisir de découvrir qu'il portait sur le DICS : déficit immunitaire combiné sévère dont j'avais déjà un peu entendu parler. Si vous ne connaissez pas le terme DICS, peut-être avez vous déjà entendu parler du terme "enfant bulle". C'est ce qu'est le personnage principale : Madeline. C'est à dire qu'elle doit rester dans sa maison aseptisée et ne jamais en sortir sous peine de tomber malade par toutes les petites bactéries et virus de l'extérieur qui serait mortels pour elle. On a bien sûr le droit à l'histoire d'amour mais ce n'est pas non plus pour me déplaire. A un moment de l'histoire je me disais, non ce n'est pas possible, ce n'est pas logique. Mais tout s'explique par un retournement complet de situation (l'auteur a vraiment fait fort pour le coup) qui a vraiment l'avantage de surprendre le lecteur. Les petits dessins sont biens par contre un peu trop petits pour les lecteurs sur liseuse comme moi ! J'ai lu ce roman en VO et il est complètement abordable par son vocabulaire.

Coup de coeur - Passionnant- Très bon - Agréable - Sans plus - Laborieux - Vraiment horrible

Avez-vous lu ce roman et vu le film ?

mercredi 16 août 2017

5 raisons de se mettre à la lecture en VO


1) Lire la suite d'une saga plus rapidement, avant sa traduction française
Je pense qu'il était déjà arrivé à chaque lecteur d'arriver à la fin d'un tome d'une saga et de se dire : je veux la suite. Mais voilà, pour la lire, il faut encore qu'elle soit dispo ! Sans la phase de traduction, la publication est plus rapide et donc vous devez patienter moins de temps. En plus, cela vous évite les problèmes du genre : la maison d'édition décide de ne finalement pas publier le troisième tome d'une saga car la vente du tome 2 n'était pas assez rentable selon eux...

2) Avoir encore plus de possibilités de lectures car certains romans ne sont jamais traduits
Les pépites de lecture se cachent un peu partout et certaines se cachent en Angleterre, aux Etats-Unis ou encore en Allemagne. Tous les auteurs n'ont pas eux la chance de tomber sur une grande maison d'édition (voir n'ont pas de maison d'édition du tout avec les auto-édités) et seuls quelques rares ont la chance d'être traduits. Imaginez le nombre exponentiel de romans que vous pouvez découvrir si vous ne vous contentez pas des romans écrits ou traduits en français !

3) Le prix = les romans étrangers sont souvent moins chers que les romans français
Ici je pense notamment aux romans anglais ou américains : face aux romans français il n'y a pas photo ! Il doit y avoir des taxes en moins sur les livres dans ces pays. En tout cas, peu importe la raison : votre porte-monnaie vous dira merci !

4) Enrichir son vocabulaire dans l'autre langue / être de plus en plus à l'aise en lisant dans une langue étrangère
Ça, c'est un avantage pour vos études ! Je trouve qu'en France, on apprend vraiment peu de vocabulaire par rapport à des pays comme l'Allemagne ce qui fait que l'on a un niveau plus bas que les autres pays pour l'expression dans une langue étrangère. La lecture peut vous permettre d'améliorer tout ça et d'apprendre en vous amusant.

5) Profiter des magnifiques couvertures VO qui dont parfois moins belles dans leurs versions françaises
A chaque fois que je vois des couvertures étrangères (anglaises ou américaines notamment), je tombe sous leurs charmes. Je vois rarement des couvertures qui ne me plaisent pas à l'étranger alors que c'est plus souvent le cas pour les couvertures françaises. Mais je trouve toutefois qu'il y a des progrès en France et que certaines maisons d'éditions françaises nous sortent constamment des bijoux pour les yeux !

N'hésitez pas à donner d'autres raisons de lire en VO en commentaire !

samedi 12 août 2017

Les derniers jours de Rabbit Hayes

Les derniers jours de Rabbit Hayes

de Anna McPartlin / Editions Le cherche midi / 454 pages

Quatrième de couverture :

Quand Mia, que l’on surnomme affectueusement Rabbit, entre en maison de repos, elle n’a plus que neuf jours à vivre, même si elle refuse de l’accepter, tout comme ses proches qui assistent, impuissants, au déclin de leur fille, sœur, mère ou amie. Tous sont présents à ses côtés pour la soutenir : Jack et Molly, ses parents, incapables de dire adieu à leur enfant ; Davey et Grace, son frère et sa sœur, qui la considèrent toujours comme la petite dernière de la famille ; Marjorie, sa meilleure amie et confidente ; et enfin Juliet, sa fille de 12 ans, qu’elle élève seule. À mesure que les jours passent et que l’espoir de sauver Rabbit s’amenuise, sa famille et ses amis sont amenés à s’interroger sur leur vie et la manière dont ils vont se construire sans cette femme qui leur a tant apporté. Rabbit est au cœur de ce petit groupe et des préoccupations de chacun de ses membres. Si elle a perdu la bataille, celle-ci ne fait que commencer pour son entourage. Et Rabbit a quelques idées bien particulières pour leur faciliter la tâche. Mais très peu de temps pour les mettre en œuvre...

Ce que j'en ai pensé :

Les points positifs :
j'ai aimé les réactions de la mère de Rabbit et ces gaffes 

Les points négatifs :
j'aurais aimé plus d'émotions et encore plus de rythme dans l'intrigue
 je m'attendais à un coup de coeur avec tous les avis extrêmement positifs lu sur Livraddict et ce ne fût pas le cas

Pour conclure : Quand j'ai vu les avis sur Livraddict, je me suis dis "Rabbit, ça va être une bombe d'émotions". Je m'attendais à ressentir la même chose qu'avec Avant toi - dont j'étais ressortie bouleversée - mais avec une autre intrigue. Quand j'écris cette chronique, j'ai un peu l'appréhension de vous faire croire que je suis insensible puisque je n'ai pas été autant touchée par ce roman que d'autres lecteurs. Je ne vais pourtant pas vous mentir en vous faisant croire le contraire. Oui, je suis la première à trouver cela triste quand je lis un roman qui porte sur la maladie - et plus particulièrement le cancer- et oui, je trouve cela d'autant plus horrible si on place des enfants, touchés directement ou indirectement par la maladie, dans l'histoire. Malgré cela, je ne pense pas que ça suffise pour en faire une lecture exceptionnelle. J'ai apprécié le côté décalé de la mère de Rabbit. Toutefois, je n'ai pas ressenti cette explosion d'émotions en moi: le mélange n'a pas pris. J'étais même parfois en train de compter le nombre de pages restant ce qui est rarement bon signe dans une lecture. C'est un peu avec déception que je repose ce roman, pas de coup de coeur pour cette fois.

Coup de coeur - Passionnant- Très bon - Agréable - Sans plus - Laborieux - Vraiment horrible

Avez-vous été bouleversé par ce roman ?

mardi 8 août 2017

Les sorcières du clan du Nord

Les sorcières du clan du Nord

de Irena Brignull / 360 pages / Gallimard Jeunesse

Quatrième de couverture :

Poppy et Clarée ne pourraient avoir de vies plus différentes. Adolescente perturbée, Poppy se fait renvoyer de tous les lycées qu'elle fréquente ; Clarée est une jeune sorcière qui a du mal à trouver sa place au sein de sa communauté secrète. Un jour, pourtant, leurs destins se croisent. Elles deviennent amies et se retrouvent en cachette, se faisant découvrir leurs mondes respectifs. Mais le doute grandit dans l'esprit de Poppy : ces phénomènes étranges qui entourent sa vie depuis toujours, les catastrophes qu'elle provoque sans le vouloir... serait-il possible qu'elle soit elle-même une sorcière? Et si son exil forcé dans le monde des humains avait un lien avec l'ancienne prophétie qui désignera la future reine des sorcières?

Ce que j'en ai pensé :

Merci à Gallimard Jeunesse pour ce partenariat.

Les points positifs :
l'univers magique
 les deux destins entremêlés

Les points négatifs :
l'espèce de triangle amoureux 

Pour conclure : Les sorcières du clan du Nord a réussi à me charmer dès la lecture des premiers chapitres. J'ai tout de suite adhéré à l'univers magique et à Poppy, une jeune fille qui semble entourée de phénomènes étranges. J'ai aimé découvrir les deux univers : celui de Poppy, qui ressemble plutôt au nôtre et celui de Clarée, qui vit au sein d'une communauté de sorcières. La "grosse" révélation de l'histoire est malheureusement visible dès le début de l'intrigue : j'aurais aimé être plus surprise par ce roman. La deuxième partie du roman m'a moins emballée bizarrement : je pense que la raison ne provient pas forcément du roman mais du fait que j'ai du laisser de côté ce roman pendant quasiment un mois par manque de temps. Pourtant, je pensais au début que l'histoire allait peut-être devenir un coup de coeur ! J'attends une suite plus forte en révélations et rebondissements. Ce premier tome semble surtout planter le décor.

Coup de coeur - Passionnant- Très bon - Agréable - Sans plus - Laborieux - Vraiment horrible

Avez-vous des histoires de sorcières à me conseiller ?

samedi 5 août 2017

Rage

Rage

de Orianne Charpentier / Gallimard Scripto / 112 pages

Quatrième de couverture :

RAGE... C'est le surnom que son amie lui a donné.
C'est désormais ainsi qu''elle se nomme, pour oublier son prénom, ce nom d'avant, celui de son enfance, d'avant l'exil, la déchirure. Son pays d'origine, on ne le connaîtra pas.
Il nous suffit de deviner que Rage a eu affaire à la violence des hommes, de la guerre. Et voilà réfugiée en France, sans plus de repères, ni de famille. Telle une bête traquée, elle se méfie de tous. Mais un soir, sa route croise celle d'un chien - dangereux, blessé, visiblement maltraité. Désormais, sa propre survie passe par celle de l'animal...



Ce que j'en ai pensé :

Merci à Gallimard Jeunesse pour ce partenariat.

Points positifs :
les sentiments de Rage qui sont très bien décrits
 le lien homme-animal
 la plume de l'auteure

Points négatifs :
j'aurais aimé que l'histoire soit un peu plus développée. C'est peut-être un peu trop rapide

Pour conclure : Rage est un tout petit roman qui sera parfait entre deux autres plus grosses lectures. Je l'ai trouvé original par le thème abordé (la vie d'une réfugiée) ainsi que (et surtout !) par les émotions qui se dégagent de ce texte. C'est un tout petit passage de la vie Rage et pourtant, l'auteure arrive à nous faire ressentir des émotions. La manière de raconter est plutôt originale et pourra peut-être en surprendre certains puisque le sentiment est décrit dans son essence même, avec un côté presque animal. Rage va faire la rencontre d'un chien durant ce petit moment que nous passons avec elle et j'ai bien aimé les parallèles entre elle et l'animal. Un roman très rapide donc, peut-être un tout petit peu trop car j'aurais aimé en savoir un peu plus parfois sur les autres personnages de ce roman mais ce n'est pas non plus un énorme point négatif.

Coup de coeur - Passionnant- Très bon - Agréable - Sans plus - Laborieux - Vraiment horrible

Est-ce que vous enchainez grosse lecture sur grosse lecture ou vous préférez placer une lecture un peu plus courte entre les deux ?

mardi 1 août 2017

Bilan juillet 2017





Juillet, encore un mois de vacances pour moi :)

J'ai fait un petit job d'été de publicité et c'était vraiment top ! L'équipe avec laquelle j'ai travaillé était sympa.

Puis je suis partie en vacances. 2 semaines de voyage en Provence qui furent bien sympathiques. Le soleil était tout le temps présent.
J'ai réussi à lire tous les livres que j'avais mis dans ma PAL de voyage, ce qui est plutôt un bon point.

Concernant mes lectures, ce mois est pour le moment le plus productif de l'année en terme de nombre de livres lus avec 8 romans (soit 3673 pages). La plupart sont de très belles découvertes. J'ai à nouveau lu un roman en VO : Heartless, que je vous recommande d'ailleurs de lire en français ou bien en anglais.

Plus qu'un mois de vacances, le temps est passé super vite. J'espère qu'il sera aussi rempli de jolies découvertes livresques :)

Je vous souhaite un bon mois d'août !

Et vous, qu'avez-vous fait en juillet ?
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